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Projet d’accompagnement et de renforcement de la résilience des personnes en situation de déplacement forcé et populations hôtes en matière de VBG et de santé sexuelle.

Objectif et zone d’intervention du projet

Réduire les violences basées sur le genre directement au niveau des femmes, des hommes et des enfants survivant.es et à renforcer leur résilience dans les communes de MATERI, TANGUIETA, KEROU, NATITINGOU et TOUCOUNTOUNA dans le département de l’ATACORA d’une part ; Banikoara, Kandi et Karimama dans l’Alibori d’autre part.

Cible du projet

Les personnes en situation de déplacement forcé, les réfugiés, les demandeurs d’asile et les populations hôtes (population d’accueil et déplacés internes) soit 70% de déplacés de force et 30% de population hôte.

Résumé du projet

Les femmes, les hommes, les adolescent.es réfugié.es, demandeurs asiles, déplacé.es internes, population d’accueil du département de l’Atacora et de l’Alibori (Béninois et des refugies Burkinabés,Nigériens et Togolais), dans le nord du Bénin, touché.es par le conflit et la famine, bénéficient des services d’intervention nécessaires à la guérison et au relèvement suite aux violences auxquelles ils ont été confrontés et sont exposés à des risques réduits dans les communes de Natitingou, Toucountouna, Tanguiéta, Matéri et Kérou pour l’Atacora et Banikoara, Kandi, Karimama pour l’Alibori. L’intervention est axée sur :

  • Soutien psychosocial aux survivantes de VBG.
  • Formation des leaders communautaires sur la masculinité positive.
  • Autonomisation à travers la formation des boursières et le soutien financier pour renforcer leur AGR.
  • Appui en équipement et en kits aux GUPS pour les survivantes de VBG.
  • Offre de services de clinique mobile (sensibilisation SSR, dépistage,prise en charges…)
  • Distribution de kits d’hygiène aux filles et femmes.
  • Tournée de suivi et évaluation avec les autorités départementales et communales par trimestre.
  • Organisation d’un atelier bilan à mi-parcours.
  • Formation des membres OSC et des autorités locales sur la santé mentale des survivantes de VBG.